Sur ma rose des vents
Sur ma rose des vents
Ya des vents
Qui soufflent les bougies
De ma ligne de vie
Ils comptent mes printemps
Sur ma rose des vents
Ya des vents
Qui raniment les braises
De mes petites fournaises
Lors des feux d’la Saint Jean
Sur ma rose des vents
Y a des vents
Qui font claquer les voiles
De mes rêves en cavale
Planqués dans les haubans
Sur ma rose des vents
Ya des vents
Qui viennent de rendre fou
Mon cheval andalou
Il prend le mors aux dents
Sur ma rose des vents
Ya des vents
Qui décoiffent les cimes
J’atteins le point sublime
Où s’arrête le temps
Sur ma rose des vents
Y a des vents
Qui sont des vents de sable
Et ma rose des vents
Devient rose des sables
Dans le désert mouvant
Dans le désert mouvant
mercredi 30 juin 2010
jeudi 24 juin 2010
Je connaissons la fable
Je connaissons la fable
Moi je vide les poches
Des croquants larilette
J’suis un môme de la cloche
Devenu pickpocket
Moi je rackette les bars,
J’ai la gachette facile
Et je mets dans le mille
Comme dans les polars.
Monsieur de la Fontaine,
Trouvez donc la morale
Quand celui-là vous dit :
« Je connaissons la fable :
La cigale, la fourmi.
Tirer la queue du diable,
Je connaissons aussi. »
Moi je soutiens Suzette
Sur le pavé d’Paris
Et tirelarilette
Je devons vivre aussi
Moi je marie Carole
J’ programme ses mariages blancs
Ses maris j'les racole
Sur les cinq continents
Monsieur de la Fontaine,
Trouvez donc la morale
Quand celui-là vous dit :
« Je connaissons la fable :
La cigale, la fourmi.
Tirer la queue du diable,
Je connaissons aussi. »
Moi je vide les poches
Des croquants larilette
J’suis un môme de la cloche
Devenu pickpocket
Moi je rackette les bars,
J’ai la gachette facile
Et je mets dans le mille
Comme dans les polars.
Monsieur de la Fontaine,
Trouvez donc la morale
Quand celui-là vous dit :
« Je connaissons la fable :
La cigale, la fourmi.
Tirer la queue du diable,
Je connaissons aussi. »
Moi je soutiens Suzette
Sur le pavé d’Paris
Et tirelarilette
Je devons vivre aussi
Moi je marie Carole
J’ programme ses mariages blancs
Ses maris j'les racole
Sur les cinq continents
Monsieur de la Fontaine,
Trouvez donc la morale
Quand celui-là vous dit :
« Je connaissons la fable :
La cigale, la fourmi.
Tirer la queue du diable,
Je connaissons aussi. »
dimanche 20 juin 2010
Tu es entrée en moi
Tu es entrée en moi
Comme le premier coup d’frais de la première averse
Comme le premier accord du tout premier violon
Comme le premier coup d’gueule d’la première controverse
Comme le premier refrain de la première chanson
Tu es entrée en moi
Me demandant pourquoi
C’est ma rose des vents
Qui souffle les bougies
De ma ligne de vie
Pour compter mes printemps
Comme le premier parfum de la toute première rose
Comme le premier écho du tout premier bonjour
Comme le premier forte du premier virtuose
Comme la première ballade du premier troubadour
Tu es entrée en moi
Me demandant pourquoi
C’est ma rose des vents
Qui souffle les bougies
De ma ligne de vie
Pour compter mes printemps
Comme le premier vol du premier goéland
Comme le premier salut du tout premier artiste
Comme la première larme du tout premier clown triste
Comme la première prière du premier mécréant
Tu es entrée en moi
Me demandant pourquoi
C’est ma rose des vents
Qui souffle les bougies
De ma ligne de vie
Pour compter mes printemps
Comme le premier coup d’frais de la première averse
Comme le premier accord du tout premier violon
Comme le premier coup d’gueule d’la première controverse
Comme le premier refrain de la première chanson
Tu es entrée en moi
Me demandant pourquoi
C’est ma rose des vents
Qui souffle les bougies
De ma ligne de vie
Pour compter mes printemps
Comme le premier parfum de la toute première rose
Comme le premier écho du tout premier bonjour
Comme le premier forte du premier virtuose
Comme la première ballade du premier troubadour
Tu es entrée en moi
Me demandant pourquoi
C’est ma rose des vents
Qui souffle les bougies
De ma ligne de vie
Pour compter mes printemps
Comme le premier vol du premier goéland
Comme le premier salut du tout premier artiste
Comme la première larme du tout premier clown triste
Comme la première prière du premier mécréant
Tu es entrée en moi
Me demandant pourquoi
C’est ma rose des vents
Qui souffle les bougies
De ma ligne de vie
Pour compter mes printemps
mardi 8 juin 2010
C'était un saltimbanque
C’était un Saltimbanque
Seul sur ce terre-plein écoutez le chanter
Viens voir les comédiens viens voir les musiciens
Ecoutez il enchaine avec Les acadiens
Il chante pour des prunes les chalands sont passés
Regardez maintenant il imite Charlot
Il danse sur limeligt Des tas de chalands passent
Ils passent indifférents s’en foutent y a pas photo
Dieu qu’les temps ont changé Boul’vard du Montparnasse
Saltimbanque de la rue
Artiste des terre-pleins
Celui qui vous salue
N’est rien qu’un turlupin
Il vient d’cracher du feu comme un volcan d’Islande
Et le terre-plein s’embrase pour la seconde fois
Il vient d’cracher du feu comme un volcan d’Islande
Tout cela pour des prunes In cha’ Allah In cha’ Allah
Il avale son sabre en un clin d’œil chapeau
C’t’un sabre de samouraï. Des tas de chalands passent
Ils passent indifférents s’en foutent y a pas photo
Dieu qu’les temps ont changé Boul’vard du Montparnasse
Saltimbanque de la rue
Artiste des terre-pleins
Celui qui vous salue
N’est rien qu’un turlupin
Il ramasse ses cliques il ramasse ses claques
Ca fait vingt ans qu’ça dure et oui ça fait vingt ans
Y aura pas de come-back y aura pas de come-back
Faut décrocher maint’nant faut décrocher maint’nant
Entre un sandwich rosette et un pot d’Beaujolais
Il finit au ptit bar loin des chalands qui passent
L’av’nir dit l’mastroquet n’est plus ce qu’il était
Dieu qu’les temps ont changé Boul’vard du Montparnasse
Saltimbanque de la rue
Artiste des terre-pleins
Celui qui vous salue
N’était qu’un turlupin
Seul sur ce terre-plein écoutez le chanter
Viens voir les comédiens viens voir les musiciens
Ecoutez il enchaine avec Les acadiens
Il chante pour des prunes les chalands sont passés
Regardez maintenant il imite Charlot
Il danse sur limeligt Des tas de chalands passent
Ils passent indifférents s’en foutent y a pas photo
Dieu qu’les temps ont changé Boul’vard du Montparnasse
Saltimbanque de la rue
Artiste des terre-pleins
Celui qui vous salue
N’est rien qu’un turlupin
Il vient d’cracher du feu comme un volcan d’Islande
Et le terre-plein s’embrase pour la seconde fois
Il vient d’cracher du feu comme un volcan d’Islande
Tout cela pour des prunes In cha’ Allah In cha’ Allah
Il avale son sabre en un clin d’œil chapeau
C’t’un sabre de samouraï. Des tas de chalands passent
Ils passent indifférents s’en foutent y a pas photo
Dieu qu’les temps ont changé Boul’vard du Montparnasse
Saltimbanque de la rue
Artiste des terre-pleins
Celui qui vous salue
N’est rien qu’un turlupin
Il ramasse ses cliques il ramasse ses claques
Ca fait vingt ans qu’ça dure et oui ça fait vingt ans
Y aura pas de come-back y aura pas de come-back
Faut décrocher maint’nant faut décrocher maint’nant
Entre un sandwich rosette et un pot d’Beaujolais
Il finit au ptit bar loin des chalands qui passent
L’av’nir dit l’mastroquet n’est plus ce qu’il était
Dieu qu’les temps ont changé Boul’vard du Montparnasse
Saltimbanque de la rue
Artiste des terre-pleins
Celui qui vous salue
N’était qu’un turlupin
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